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Autre rescapée : cette longue interview dans Le Magazine des Livres
Revue des blogs pour "La commissaire n'a point l'esprit club"

Cliquez sur chaque nom pour lire le billet plus complet.
   
Le personnage de Viviane vaut le détour à elle seule, son rapport aux autres aussi, et en particulier à la gente masculine. Quant à l'intrigue, un rien classique mais efficace, surtout avec notre nouveau tandem détonnant, elle est menée tambour battant.

Georges Figo mêle avec bonheur humour, polar et portraits hauts en couleurs. Un roman à réserver pour une soirée de détente…

L'incipit est un délice, et tout est à l'avenant, plein d'humour […] Un roman a déguster comme un petit vin d'été, à l'ombre d'un parasol, pour le plaisir.

D’un bout à l’autre du roman, l’intrigue reste dense et le lecteur s’interroge, tout en s’amusant. Humour et enquête policière, un mélange qui m’a beaucoup plu et que je ne peux que vous encourager à découvrir.

Tout cela est un peu cruel mais néanmoins très drôle parce que Georges Flipo possède une plume acerbe qui éreinte sans jamais tomber dans la méchanceté, avec toujours cette pointe de tendresse qui affleure ça et là.

La relation entre les deux enquêteurs est aussi amusante qu'émouvante. Un bon polar plein d'humour sous le soleil de l'île de Rhodes, que demander de plus ? Vivent les vacances et l'Esprit Club !

Dire que l’on s’amuse à la lecture des aventures de la commissaire Viviane Lancier est un euphémisme. Si le mot n’était tant galvaudé aujourd’hui, on pourrait dire sans ambages que l’on jubile et cela, dès la première phrase... 

[ Les animateurs et touristes] sont croqués pour le meilleur et pour le pire, dans la joie et la bonne humeur, avec un mélange de consternation et d'attendrissement. Et franchement, c'est jubilatoire à lire ! Drôlissime !

Le ton du roman demeure vif, acerbe parfois, souvent humoristique (mais je m'étais plus amusée avec les deux romans précédents), et j'ai une petite préférence pour les moments de grâce, avec le tango

… l'humour et l'enquête sont là, donnant au roman un grand attrait ! Je me suis régalée à lire ce livre. A quand la suite des aventures de la commissaire ?

Avant tout un récit policier, et de ce côté le lecteur a son compte de meurtres à élucider ou de suspects à faire parler. […] Et dans ce Club, un véritable huis-clos étouffant s'installe. 

Liliba, 11 avril 2011
Bref, un roman policier diablement sympathique, qui m'a fait éclater de rire plus d'une fois, et dont l'intrigue est extrêmement bien ficelée.Je me suis totalement régalée de la satire de ces clubs de vacances. 

Georges - vous permettez que je vous appelle Georges ? - continuez comme cela, j'attends avec impatience de découvrir quelle sera la prochaine barre chocolatée de Viviane

Ma bouquinerie (Oops), octobre 2011
Comment ne pas être sous le charme de cette truculente commissaire tellement loin des clichés "mannequins" servis par les séries télévisées. 

C’est très très drôle. L’auteur possède un humour pince sans rire, anglais pourrait-on dire, qui fait merveille. Il n’a pas son pareil pour camper les situations parfois incongrues et croquer ses personnages.

Georges Flipo joue avec les mots, les représentations que l’on peut avoir du Club… C’est souvent très drôle et juste. Je me suis prise au jeu de cette enquête à tendance burlesque. Un moment bien sympathique.

Magali Duru, 2 mars 2011
Avant de débrouiller les fils d'une intrigue labyrinthique à souhait  (il n'y a que Georges Flipo pour oser transformer une pendaison dans un amphithéâtre de plein air en mystère de la chambre close) …

Avec un humour léger et un goût de la dérision qui font mouche, Georges Flipo nous fait partager la vie de ce faux Club Med où se mélangent les Hétoilas, les Chéris, les Cocos et les Kikis

L'enquête nous emmène sur différentes pistes, encore une fois tout n'est pas cousu de fil blanc, et ça c'est bien. Les surprises s'enchaînent jusqu'au bout et il aurait été bien difficile de deviner le fin mot de l'histoire.

Un petit roman sympathique que j'ai apprécié beaucoup plus pour son ambiance, son humour et son duo commissaire- lieutenant que pour son intrigue. Un lecture idéale pour se détendre et ne pas se prendre la tête !

"Beaumont d’or" 2011 de la meilleure enquête policière..

…un peu d'intrigue bien ficelée,  des situations drôles -mais pas que- un contexte effrayant -le Club- que l'on mélange le tout joliment grâce à une belle écriture - toujours chez Georges Flipo…

  
Quelques extraits de "La Commissaire n'a point l'esprit club"
 
—  Quelques jours, dans une île grecque, celle de Rhodes. Avec le décoré de ce soir, votre lieutenant Monot. Je dois vous préciser, ajouta le Tout-Puissant, l’œil fripon, qu’il s’agit d’une enquête complexe, que vous mènerez dans des conditions inhabituelles : vous partirez tous deux incognito. L’idéal serait d’ailleurs que vous passiez pour un couple. Pour la crédibilité de la chose, il faudrait que vous partagiez la même chambre, avec lits séparés, je vous rassure. Cela vous paraît-il envisageable ?
  Viviane ne répondit pas. Elle envisageait. Oh, c’était si doux, Monot et elle dans la même chambre... Quelle tenue allait-elle choisir pour la nuit ? Un pyjama, façon copain-copain. Noir pour l’amincir. Et puis non, une nuisette, ce serait plus naturel : elle était femme, après tout. Rose et à mi-cuisse. Jusqu’à mi-cuisse, elle avait de belles jambes. Et lui, le cher ange, que porterait-il ? Un pyjashort en coton, vert pâle, assorti à ses yeux ? Et quand il ferait très chaud ? Ah, sous les draps, quand il ferait très chaud... Elle envisageait aussi la petite salle de bains qu’ils partageraient. Les frôlements exquis quand ils s’y croiseraient. La porte qu’elle laisserait distraitement mi-close quand elle prendrait sa douche, le petit courant d’air qui ferait bien les choses, oh, excusez-moi... Et le soir, après la plage. Il devait avoir la peau fragile, ce bêta, il allait rentrer avec des coups de soleil. Augustin, dans quel état vous êtes-vous mis... Ôtez-moi ce tee-shirt et allongez-vous sur le ventre, que je vous passe de la crème hydratante, n’ayez pas peur, je ne vous mangerai pas, là, vous voyez comme ça fait du bien, décontractez-vous, je ne fais que vous effleurer, comme ça, tout doucement... Et maintenant, tournez-vous, que je vous en mette aussi sur le devant des épaules. Oooh, quel gamin vous faites...

* * *

Des corps. Elle ne vit d’abord que des corps. Des corps et des chairs de toutes les nuances, du blême mortuaire au rouge thermidor. Hébétée, elle se planta sur la terrasse qui surplombait les deux piscines cernées par la masse humaine. Que venaient faire là tous ces Chéris ? Rien. Ils étaient venus  avec un objectif précis : ne rien faire. Ils ne nageaient pas, ne s’agitaient pas. Ils étaient. Viviane les contempla, inquiète : comment les humains étaient-ils devenus si laids, les corps si relâchés, si difformes depuis ses dernières vacances  ? Bien sûr, il y en avait de beaux, elle voyait passer des seins fermes, des ventres plats, mais ils semblaient encore plus sinistres, « Voilà ce que vous avez été, repentez-vous », rappelaient-ils aux défaits, aux avachis. La commissaire sentit tomber sur ses épaules une étrange honte, celle de la solidarité : elle était nuement comme eux, elle pouvait, sans crainte, quitter son paréo.

* * *

Viviane resta pensive. La situation était ridicule : elle, à genoux en nuisette, son lieutenant debout, torse nu, la fille morte, dévêtue, couchée entre eux. Tant pis, elle avait besoin de réfléchir. Elle finit par se relever.
—  Je ne sais pas qui a maquillé cette mort, mais il a eu raison. Il s’est simplement trompé d’endroit : tout le monde va la découvrir trop tôt. Pas de trouble à l’ordre public, vous vous souvenez ? Vous allez la porter tout au bout de la plage, au pied de la falaise, celle de la boîte de nuit. Vous la déposerez au bord des vagues, en laissant ses vêtements sur le sable. Et faites semblant de la découvrir durant votre jogging matinal. Vous irez demander qu’on appelle un médecin. J’espère qu’il ne sera pas trop féru de médecine légale.
—  Vous ne voulez pas m’aider, commissaire ?
—  Pas question. Vous m’imaginez faire du jogging en nuisette ? Je vais me changer et aller expliquer la situation à Reine.
Elle le vit partir, portant la défunte dans ses bras. Elle se dit brièvement que la jeune morte avait bien de la chance.

* * *

  —  Et vous étiez déjà venus, ici ? demanda-t-il à la tablée.
 "Ah oui", répondirent-ils en chœur, ils connaissaient déjà Lindos. Mais le club avait changé. Il y avait eu la mort de King, il y avait l’ambiance, plus pesante, moins festive. Sans parler de Coco Clown, un peu moins drôle, ajouta une blonde frisottée. Avant, qu’est-ce qu’il pouvait nous faire rire, celui-là, avec son fameux toast !
—  Santé ! lança le plus âgé de la table en levant son verre.
—  Mais pas des pieds ! répondirent les convives.
—  Sentez, mais pas des pieds ! répéta la frisottée. Coco Clown nous faisait la blague chaque fois qu’il venait s’installer à une table. On ne s’en lassait pas.
Ils semblaient effectivement ne pas s’en lasser. Chacun répéta à son tour l’impérissable toast. Viviane lança un regard effaré à Willy qui l’ignora. Il n’en avait pas fini.

* * *

Coco L’Anime apporta un panier de pommes et en remit une à chaque couple. Le jeu était simple : ils devaient danser, les mains derrière le dos, la pomme serrée entre leurs deux fronts, et la faire descendre sans qu’elle tombe. Les premiers à tenir la pomme coincée entre leurs nombrils seraient les vainqueurs.
On lança un slow gluant et la danse commença. À quelques mètres, Willy ondulait avec application. Sa pomme était déjà au niveau des bouches. La brune semblait heureuse, et Viviane éprouva une obscure jalousie. Fredo, lui, se trémoussait contre elle. Elle sentait son haleine mêlée d’ail, de pastis, et les odeurs indiscrètes de son corps. Il tentait de faire rouler la pomme contre la joue de Viviane en la maintenant avec sa langue. Il semblait à la commissaire qu’elle dansait avec tous les hommes de l’Esprit Club, que toutes leurs panses venaient s’échauffer contre son ventre, c’était atroce. Elle pensa à Reine, dans le lit conjugal, et aux cent vingt kilos de King qui s’affairaient contre elle. Comment une femme pouvait-elle supporter cela, pas une soirée, mais des années ?
La langue de Fredo lui effleura la joue. Elle ne put contenir un sursaut de dégoût. S’écartant brusquement, elle laissa rouler la pomme à ses pieds. Elle remonta les gradins quatre à quatre. Il fallait absolument qu’elle quitte les lieux avant qu’on ne la voie pleurer.
Elle se coucha en larmes. Demain, elle appellerait Monot. Demain, tout irait mieux.  

* * *

Kiki Muscule annonça que c’était l’heure du step, et Viviane lui emboîta le pas, pour découvrir avec effroi qu’elle aurait droit à une leçon particulière. Jamais elle ne sentit aussi seule que durant la demi-heure d’exercice que la jeune femme lui infligea. La commissaire monta sur son plateau, descendit, monta, un, deux, très bien, devant, derrière, et deux V step, sur le côté, à droite, à gauche, trois, quatre, voilà, comme ça, deux basic, deux, avec les genoux, cinq, six, twist, sept, huit, en se promettant de ne plus jamais manger de frites, en tout cas pas avant le lendemain.
Elle termina la séance chancelante, et eut à peine la force de sourire lorsque Kiki Muscule lui lança :
— Demain matin, je t’attends à la séance abdos-fessiers !
Viviane était allée vers les autres, et cela lui faisait mal partout.

* * *

Monot reprit son souffle et conclut, sur un ton léger :
— Ensuite, dans le poème, il y avait des histoires de mamelon couleur de champagne, de fesses et de toison, vous voyez...
Viviane affirma gaiement qu’elle voyait. Elle ne voyait rien du tout, elle voyait trouble, elle ne voyait plus que Willy qui passait innocemment la tête par la porte pour l’arracher aux moiteurs de la chose littéraire.
— Je vous laisse, Monot, on m’attend. Elle est très jolie, votre poésie. Quand la mémoire vous sera revenue, vous me réciterez la fin.
Elle marchait, rêveuse. À son côté, Willy ne disait plus un mot. Il semblait deviner qu’on venait de livrer à la commissaire un élément nouveau, dérangeant.
Oui, c’était une révélation importante qu’elle ressassait en son for intérieur : il y avait eu un poète qui, un siècle plus tôt, avait pu écrire de tels vers à la femme qu’il aimait. Il y avait eu un lieutenant de police qui avait pu les réciter à sa copine. Et à elle, pourquoi ne disait-on jamais rien ?

* * *
Les critiques qui suivent ne sont que des extraits, recomposés après perte du press-book. Il en manque quelques-unes.
Cette critique de Livres Hebdo a été une des deux rescapées complètes de la perte de mon press-book
Huit jours au club et quelques mois de larmes

  De livre en livre, j'ai fini par apprendre à écrire des recueils de nouvelles et des romans, mais pas des "suites de livre". Ma carrière s'est corsée quand, la sortie de "La commissaire n'aime point les vers" ayant connu un relatif succès, La Table Ronde m'a très vite demandé de préparer une suite.

  Comment écrire une suite de livre ? Combien de fois faut-il faire référence au livre précédent ? Faut- il un faux chapitre de départ, remettant en scène les personnages majeurs ? Faut-il viser prioritairement les lecteurs du premier livre, ou les nouveaux venus découvrant la commissaire ? Où apprend-on tout cela ?

   Je suis allé voir comment avaient procédé quelques-uns de mes prédécesseurs : Georges Simenon, Agatha Christie, puis je me suis rendu compte que c'était stupide. Les glorieux pionniers avaient, dès leur premier livre, rencontré un gros succès, dans un marché différent. J'en étais loin.

   J'ai donc écrit "comme pour moi".

  J'ai gardé, bien sûr, le personnage de la commissaire Viviane Lancier avec ses traits de caractère, ses problèmes de régime et sa rudesse envers les hommes. Je l'ai même précisé, par petites touches. J'ai gardé aussi le lieutenant Augustin Monot, mais j'ai mis en scène un nouveau lieutenant au physique d'athlète.

   Restaient le cadre et l'intrigue. J'ai tout de suite voulu que l'enquête se déroule dans un club de vacances : c'est un décor qui n'a jamais été utilisé pour aucun roman policier, je m'en suis assuré auprès de Claude Mesplède, l'encyclopédie vivante du polar. Pour donner un peu plus de saveur au club, et pour les besoins de l'intrigue, j'ai délocalisé ce club en Grèce, dans l'île de Rhodes.

   Et comme il me fallait un peu de vécu... je suis allé vivre. Je suis parti huit jours dans un club de vacances assez populaire, situé juste à côté de Lindos, la très ancienne et très commerçante ville blanche, le petit bijou de l'île de Rhodes. Huit jours de vacances, en participant assidument à toutes les soirées, toutes les activités, c'est très éprouvant. Mais au moins, au retour, on a quelque chose à raconter, ne serait-ce que dans un livre. C'est "La commissaire n'a point l'esprit club".

  Je l'ai écrit en quelques mois, dans un contexte personnel douloureux. Cela ne voit pas : la construction de ce roman en était l'échappatoire. Le résultat a été assez joyeux, selon la critique.

  Les droits sont en cours d'achat pour traduction et parution dans différents pays. La version espagnole est déjà sortie et commence une carrière prometteuse.


Vous trouverez ci-dessous :

1. un survol des retombées presse


N. B. Mon press-book, pour ce polar, s’est perdu dans un salon. Je l’ai donc reconstitué avec de simples extraits des critiques, quand ils m’étaient restés. Il y a, hélas, des absents à l’appel.

3. puis une sélection des billets dans les blogs littéraires